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Akwaba, les enfants en marche pour un projet

Ce Samedi 25 Mars, tous les membres de l’association Akwaba, les enfants du SEMIL (Service Educatif des Missions Internationales Lasalliennes) se sont retrouvés ensemble dans l’objectif de renforcer la cohésion de groupe.


En effet, le groupe a organisé, avec l’aide des accompagnateurs, cette matinée de rencontre.
(Jeux, Logistique…)
Ainsi, les jeunes étaient chargés d’amener gâteaux, boissons, verres, viennoiseries afin de
prendre le petitdéjeuner ensemble. Puis, commence le premier jeu .
Deux lignées de chaises étaient installés, deux équipes étaient tirées au hasard, (comprenant
jeunes et accompagnateurs), et chaque groupe devait se ranger le plus rapidement sur les
chaises selon le thème donné sans tomber. Des éclats de rires et un bon début de cohésion.


Puis, cinq anciens jeunes d’Akwaba sont intervenus pour répondre aux interrogations et faire
part de leur expérience. (Grenoble, Inde, Argentine, Philippines…). Des échanges forts
émouvants avec une pointe de nostalgie et c’est tout à fait normal !


Cela a motivé davantage le groupe qui souhaite s’investir de plus en plus dans ce projet même
si celuici ne soit pas totalement défini. « Nous partons pour un projet et non pour une
destination ».


Le jeu du béret, le loup garou animé autour d’un pique nique par Baptiste nous a rapproché
chacun d’entre nous : la barrière de la timidité s’est brisée.

Des questionnements sur la cohésion de groupe ont resurgi, sur la cohérence entre les
motivations individuelles et collectives. Il est nécessaire d’anticiper les problèmes de
fonctionnement au sein d’un groupe.


Qui sommesnous ?

Qu’estce qui nous rassemble ? Que voulonsnous vivre ensemble ?

Pourquoi ce projet ? Pourquoi cette destination ?

Quels sont nos engagements maintenant et pour le futur ?

Quels modes et rythmes de relecture nous donnonsnous ?

Comment allonsnous vivre ? Quels points d’attention pour structurer la vie collective ?

Voulonsnous définir des rôles spécifiques dans le groupe ?

Des questions non traitées mais à réfléchir en groupe.


Beaucoup de petites choses, faites par beaucoup de petites gens, dans beaucoup de petits
endroits, peuvent changer le monde !

Eléonore GONTARD, membre de l’association Akwaba, les enfants